Code vs no code : quelle est la meilleure option pour votre application ?

Culture web
ideematic Par ideematic
02 février 2024
Choix entre code VS no-Code

L’édition de logiciels a généré un chiffre d’affaires de 17,5 milliards d’euros en 2022. Les revenus ne cessent de progresser depuis ces dernières années. Cela démontre que dans l’univers des entreprises et des administrations, le développement d’une application métier sur mesure devient un enjeu majeur pour la croissance d’une entreprise.

 

Ces applications web  répondent en majeure partie aux besoins des professionnels d’organiser leur activité, de centraliser et traiter l’information ou d’organiser la collaboration au sein de leurs équipes. Elles doivent également répondre à leurs contextes de sédentarité comme d’itinérance, et être accessibles tant en mode connecté qu’en mode déconnecté (avec ou sans réseau internet). L’application mobile (ou pour tablette) constitue un support alternatif aux PC, répondant tant à des contextes d’usages spécifiques que complémentaires.

 

Face à leurs enjeux de productivité et d’efficience, les entreprises se posent aujourd’hui légitimement la question de l’approche technologique pour développer leurs logiciels. Et c’est à cela que nous allons tenter de répondre aujourd’hui. Cette approche doit-elle se faire par le Code ou le No-Code ? Comment créer une application pensée pour l’entreprise et répondant parfaitement à ses besoins, tout en tenant compte dans une vision à court, moyen et long terme à : 

  • sa capacité à évoluer
  • sa maintenabilité
  • sa maîtrise des budget
  • sa respect des plannings de création
  • sa sécurité
  • sa notion de propriété intellectuelle
  • etc. ?

1) Le développement No-code pour créer des applications facilement

Le marché des plateformes No-code connaît une croissance fulgurante. Ces plateformes représentaient moins de 25 % des applications développées en 2020. Mais, selon les estimations de l’entreprise Gartner, elles pourraient bondir à 70 % d’ici 2025. Parmi les raisons de cette évolution, on peut citer : 

  • la multiplication des applications (pour les applications mobiles, nous sommes passés de 140,6 milliards de téléchargements en 2016 à 218 milliards en 2020. Et cette augmentation se poursuit) ;
  • la tendance des entreprises à rechercher une certaine simplicité dans la production d’applications ;
  • la volonté d’automatiser des procédures ;
  • la nécessité de poursuivre la transformation numérique après la période du COVID.

Qu’est-ce que le No-Code ?

Le développement No-Code correspond à l’édition d’un logiciel sans manipuler le moindre langage de programmation. Les plateformes No-Code sont elle, développées avec du code, mais l’utilisateur sélectionne des éléments visuels et des interfaces graphiques qui sont tous préprogrammés. Il les manipule par « glisser-déposer » pour construire son application.

D’où vient le No-Code ?

Les premières expérimentations remontent aux années 60, avec les interfaces en ligne de commande (CLI). Ces programmes se conçoivent sans l’utilisation de cartes perforées pour produire du code, mais il faut un temps d’apprentissage conséquent pour les maîtriser. 

 

C’est pourquoi la première interface graphique (GUI) est mise au point en 1973, dans laquelle chaque commande est associée à un objet graphique. Ce procédé est d’abord popularisé dans le contexte d’un système d’exploitation, sur l’ordinateur Macintosh en 1984, puis se généralise sur tous les appareils informatiques.

Dans le contexte d’une application, l’un des premiers logiciels de gestion de base de données reposant sur du No-Code est FileMaker. Développé en 1985, il permet d’intégrer des informations essentielles de l’entreprise (fichiers clients, mailing, agenda, suivi de projets, etc.) dans des tables et des rubriques. Leurs champs peuvent être renommés sans qu’il n’ait besoin de modifier les scripts. Depuis la sortie de la version 8.5 en 2006, il est possible de visualiser sa page Web depuis l’application Web Viewer. Il était dès lors possible par exemple de se créer un petit CRM sans avoir à plonger les mains dans le code.

Quels sont les outils No-Code les plus utilisés ?

Les choses ont depuis beaucoup évolué. Il existe aujourd’hui un grand nombre d’outils No-Code, et nous avons sélectionné ceux qui reviennent le plus sur les moteurs de recherche. Ces plateformes sont reconnues pour leur “ancienneté”, leur popularité et leur facilité d’utilisation.

3 outils No-Code pour développer des applications web

Airtable est un logiciel SaaS qui se présente visuellement un peu comme une feuille de calcul. Airtable prend le rôle de système de base de données pour votre application no code.

 

Bubble est un outil de création d’applications No-code, web ou mobile, qui est accessible sur la plupart des navigateurs. Reposant sur le système « glisser-déposer » (ou drag & drop), il permet de créer un logiciel No-code sans la contrainte d’un template. La création de l’application est gratuite et ne nécessite aucune compétence en code.

 

Make (nouveau nom d’Integromat) connecte votre application avec différents services (Stripe, Slack, Salesforce, etc.) Son intérêt réside dans l’automatisation des flux de travail et la création de workflows complexes.

 

3 outils No-Code pour développer des applications mobiles

Adalo est une plate-forme No-Code qui permet la création d’une application mobile sur iOS ou Android. Elle peut également servir à l’édition d’une application Web. Elle est adaptée aux profils qui n’ont pas les moyens de développer une application, comme les entrepreneurs et les PME. Elle permet d’intégrer les notifications et la gestion de base de données.

 

Glide transforme les données issues de feuilles de calcul en applications mobiles. Les feuilles en question peuvent provenir de Google Sheet ou d’Excel. Les templates servent à illustrer des domaines professionnels spécifiques comme l’immobilier, l’industrie, le commerce ou les inventaires.

 

Goodbarber vous permet de créer des applications natives et des Progressive Web Apps (PWA) qui optimisent l’expérience utilisateur. Cette optimisation repose sur la fluidité d’utilisation et le design. Les utilisateurs profitent de transactions plus faciles à régler. Elles sont compatibles avec iOS et Android et peuvent être mises en ligne en quelques semaines.

 

Pour un comparatif précis des outils no-code, nous vous invitons à consulter notre précédent article.

Quels sont les points forts du No-code ?

 

Le développement No-code attire par sa rapidité d’exécution et son accessibilité à toute personne ne faisant pas du développement. Les équipes métier développent leurs solutions sans dépendre d’une équipe IT.

Des économies de temps et d’argent pour le développement : 

Le principal intérêt de créer son application sans coder réside à priori dans les économies de temps et de coûts. D’ailleurs, les entrepreneurs, les PME et les start-ups sollicitent de plus en plus les plateformes No-Code car ils peuvent développer et lancer une application en quelques jours, voire quelques semaines au maximum. 

 

Comme cette tâche ne nécessite aucun développeur professionnel à première vue, le temps de création est plus court et le budget moins important (par rapport au développement traditionnel d’un logiciel avec du code).

 

Un apprentissage accessible 

 

L’apprentissage des plateformes est intuitif et dispose d’un grand nombre de tutoriels sur le Web. Par conséquent, les entreprises profitent d’une certaine autonomie pour produire leur logiciel.

 

Un outil agile et évolutif 

L’agilité de l’outil No-code repose sur sa fonctionnalité glisser-déposer, qui permet de construire visuellement l’interface avec des blocs préconçus. Comme vous n’agissez pas directement sur le code source, vous pouvez rapidement adapter votre application en fonction de vos consommateurs et de votre marché.

Les outils No-Code évoluent rapidement pour répondre aux besoins grandissants. Elles acquièrent de plus en plus de fonctionnalités afin de créer des applications plus diversifiées. Cette capacité d’itération ajoute de la valeur aux entrepreneurs et aux équipes car les modifications apportées à l’application s’appliquent rapidement.

Quels sont les points faibles du No-Code ?

Malgré sa rapidité et son accessibilité, le développement No-code a des limites en termes de personnalisation, de sécurité et de propriété intellectuelle. De plus, lorsque vous développez une application, vous utilisez rarement un seul outil No-code.

 

Une personnalisation limitée 

 

Malgré les fonctionnalités disponibles, vous ne pouvez pas toujours personnaliser votre application comme bon vous semble. Vous devez parfois payer un abonnement plus cher si vous souhaitez profiter de fonctionnalités plus avancées.

 

Une programmation non optimisée 

 

Contrairement à la programmation sur-mesure, le développement No-code ne prend pas en charge, à l’échelle de votre application, l’optimisation du code. Par conséquent, les applications consomment beaucoup de mémoire de disques et d’énergie. Si les interfaces ne sont pas fluides, cela affecte l’expérience utilisateur.

 

La sécurité 

Les plateformes No-Code bénéficient de moyens de sécurité corrects. Néanmoins, comme vous ne pouvez pas accéder au code source de votre application, vous ne pouvez pas vous assurer de sa fiabilité. Les logiciels No-Code sont des cibles privilégiées pour les pirates informatiques. Et, en cas de faille identifiée et faute de mise à jour, vous pouvez devenir vulnérable aux fuites de données.

 

La réversibilité et la propriété intellectuelle 

 

Dans l’usage d’une solution no-code pour bâtir votre logiciel métier, vous n’êtes pas propriétaire de votre code source. Vous n’en possédez donc pas la propriété intellectuelle d’une part et ne pouvez que très difficilement changer de plateforme d’autre part.

De plus, les conditions générales d’utilisation et de vente de la solution no-code pourront évoluer dans le temps, vous contraignant à les suivre pour continuer de profiter de votre application.

L’architecture applicative 

À noter aussi qu’un logiciel conçu en No Code s’appuiera souvent sur plusieurs services ! On peut par exemple imaginer une application qui utilise Webflow pour la partie site, Air table pour le système de gestion de base de données et Outil Make pour les règles métier et les automatisations.

 

La maintenabilité dans le temps 

Tous les services permettant  aujourd’hui de créer des applications en No Code, sont relativement récents. Avant donc de miser sur eux pour construire ses applications, il est important de se poser la question de la pérennité dans le temps. Comment ces services dont on va dépendre entièrement  vont-ils évoluer ? Seront-ils toujours en capacité de répondre à mes besoins spécifiques ? Ou devrais-je continuellement m’adapter aux possibilités qu’ils m’offrent ? Que se passera-t-il si l’un des services sur lequel s’appuie mon logiciel s’arrête ? Ainsi, la santé de votre application dépend entièrement de celle de la société qui édite la solution no-code employée.

2) Le développement avec du code pour produire une application sur-mesure

Les logiciels sont codés avec des langages de programmation spécifiques comme par exemple : Html, CSS et Javascript pour la partie Front end et PHP, Ruby ou Python pour la partie Back end. Afin de simplifier le travail des développeurs, ces derniers disposent de briques fonctionnelles pour concevoir l’application. Ce groupe de composants se nomme un framework. On peut citer Symfony pour Php, Ruby on Rails pour Ruby ou encore Django pour Python et React JS pour Javascript.

Quels sont les frameworks que nous utilisons dans notre agence ?

Chaque framework est associé spécifiquement à un langage de programmation. Il en existe plusieurs catégories en fonction de l’architecture de l’application.

 

Les principaux frameworks pour développer des applications web

Ruby on Rails est le framework de développement web open-source du langage Ruby. Il repose sur l’architecture MVC (modèle-vue-contrôleur) qui permet de relier le code à la représentation de l’interface. Grâce à la division et la synchronisation d’unités réutilisables, le développeur ne répète pas les mêmes codes dans plusieurs parties de l’application. Cette dernière devient plus rapide et plus fiable.

 

React JS est une bibliothèque JavaScript qui fait partie du framework React. Chaque composant est lié à une partie de l’interface utilisateur (barre de navigation, pied de page, contenu principal, etc.) et il est réutilisable. Son DOM virtuel permet de visualiser le rendu des pages plus rapidement, et sans aucun rechargement de page.

 

Symfony est un framework PHP également open-source. Il est constitué de bundles et de composants. Les bundles sont des unités réutilisables qui se présentent sous la forme de fichiers visibles ou non par l’utilisateur. Ils permettent la mise en œuvre de fonctionnalités comme un blog, un panier d’achat, des notifications, etc. Les composants sont des fonctionnalités génériques qui permettent aux développeurs de se concentrer sur les outils spécifiques.

 

Les principaux frameworks pour développer des applications mobiles

Flutter est un framework de Google qui fait partie de l’OS Fuschia/Andromeda. Il entre dans le développement d’applications natives pour iOS et Android. Il contient un grand nombre de Widgets et, comme un Widget est affecté à une tâche, cela donne des fonctionnalités plus fortes. 

 

React Native fait partie du framework React (développé par la société Meta), mais cet outil est spécialisé dans le développement d’applications mobiles. Il est facile à utiliser et une majeure partie de son code se retrouve dans iOS et Android. Cela permet d’optimiser le temps de développement et de maintenance. De plus, sa manipulation ressemble au développement en natif, par conséquent, React Native est facile à prendre en main. 

Découvrez nos autres Frameworks pour la création d’applications Web ou d’applications mobiles.

Quels sont les points forts d’un logiciel sur-mesure ?

 

Un logiciel sur-mesure ne s’obtient pas rapidement et à moindre coût. Néanmoins, il s’agit d’un projet qui peut vous rapporter gros sur le long terme, grâce à son ergonomie et à ses fonctionnalités utiles.

 

Une personnalisation optimisée

Grâce à toutes les possibilités offertes par l’approche “sur-mesure”, le développement par le code permet de vous fournir une application personnalisée qui répond parfaitement à l’ensemble de tous vos besoins. Cette personnalisation s’applique dans toutes les fonctionnalités de votre solution et ces dernières s’adaptent aux nouveaux besoins de votre entreprise et à ceux de vos utilisateurs. Non seulement la qualité du code est maîtrisée mais également l’expérience utilisateur puisqu’il est possible de définir très précisément la manière avec laquelle les fonctionnalités doivent répondre aux besoins des utilisateurs. C’est aussi l’expérience utilisateur qui est mise en avant.

 

Avec une bonne méthodologie de développement, le développement d’une application offre aussi l’avantage de pouvoir optimiser son code. Cela permet de rendre votre application plus légère, fluide et avec une meilleure maintenabilité et capacité d’adaptation dans le temps.

 

Une sécurité renforcée

Un logiciel personnalisé réduit considérablement la probabilité de cyberattaques, contrairement aux grandes plateformes No-Code. En effet, la technologie utilisée dans l’architecture de votre application sera plus singulière et sans doute plus adaptée et adaptable à votre politique de sécurité.

 

Un investissement économique et temporel sur le long terme

Comme votre logiciel a été développé sur-mesure, il n’y a aucun abonnement ou licence à souscrire. Les coûts d’acquisition et d’usage sont donc parfaitement maîtrisés. Votre application ayant été pensée sur mesure et en tenant compte des profils de vos utilisateurs, leur courbe d’apprentissage sera donc réduite (économie de temps) et leur bon usage de l’application optimisé ! Voilà quelques réalités très appréciées des utilisateurs !

Quels sont les points faibles du développement avec du code ?

Le développement sur-mesure vous fournit une application sûre et qui répond parfaitement à vos besoins. Néanmoins, cet engagement présente quelques contraintes au niveau budgétaire et d’accès au développement de votre logiciel.

 

Des investissements significatifs pour le développement de l’application

Le coût à l’acquisition peut être plus important pour le développement sur-mesure. Il prend en compte la rémunération des équipes de développement, l’expression des besoins, la phase de développement, les tests, le déploiement et la maintenance. La création d’une application, ligne par ligne, peut donc demander plusieurs mois de développement.

 

La dépendance aux développeurs

Si vous ne maîtrisez pas le langage de programmation ou les frameworks utilisés pour votre application, vous dépendez des développeurs pour la résolution des problèmes. Vous n’avez pas la possibilité de tester votre solution durant son développement, pour vérifier qu’elle corresponde à vos attentes.

 

Une maintenance coûteuse pour une application sûre

La complexité d’un logiciel entraîne une hausse des coûts pour sa maintenance. Il faut prévoir les mises à jour de sécurité et de technologie si vous souhaitez conserver votre application dans le temps. Néanmoins, les technologies finissent toujours par devenir obsolètes au bout de quelques années car le Web évolue vite.

3) Code vs No-code, lequel choisir pour mon projet ?

Le choix entre le code et le No-code est un enjeu majeur pour l’entreprise. Il doit s’accorder à sa vision à court, moyen ou long terme, et selon de nombreux critères.

D’après les résultats d’une enquête de Ksaar en 2023, les entreprises françaises de type indépendant, TPE, PME, ETI et GE approuvent en grande majorité l’utilisation du No-Code. 78 % d’entre elles reconnaissent que les applications No-Code sont une « excellente solution pour [leur] activité ». Elles apprécient leur simplicité de développement (63 %), leurs coûts de développement faibles (59 %) et la possibilité de personnaliser leur application (57 %).

Cependant, elles déplorent les limites des fonctionnalités (61 %), de l’hébergement, de la sécurité, de la confidentialité (68 %) et de la personnalisation (58 %).

Ces résultats vont de pair avec l’insatisfaction majoritaire sur l’utilisation des logiciels non personnalisés. 38 % des entreprises jugent ces outils imparfaits, et 36 % reconnaissent leurs imperfections même si elles les utilisent. Puisqu’il faut combler ces lacunes, 63 % d’entre elles sont convaincues que le métier de développeur n’est pas voué à disparaître.

Lorsqu’on observe les fiches Google My Business des agences de développement Web bien référencées, on s’aperçoit qu’elles continuent à recevoir d’excellents retours. C’est le cas par exemple de notre agence. Les clients reconnaissent la disponibilité des professionnels, leur savoir-faire et la qualité des résultats.

4) Conclusion

L’approche no-code ou low code offre des avantages indéniables pour “monter” des applications relativement rapidement et dans des budgets abordables. Si on considère que l’aspect définition et conception sont des phases importantes pour définir les besoins auxquels devra répondre une application parfaitement pensée sur mesure, on peut alors sérieusement s’interroger sur la souplesse et la fiabilité à long terme de ce type de solution. Dans ce cadre, rien ne semble pouvoir remplacer le véritable sur mesure qui ne prend pas seulement en compte  le “visible”, mais aussi le moteur, la fondation, la source et donc le code source. L’ADN n’est-elle pas ce qui fonde la richesse et promet  la véritable capacité d’adaptation de l’être humain ? Et si on considère que l’ADN est à l’homme, ce que le code source est au logiciel, on est alors en droit de vouloir faire le choix le plus cohérent et adapté.

De toute évidence, quel que soit votre choix entre le code et le No-code, vous allez investir dans les compétences d’un professionnel interne ou externe. Le développeur s’occupe du code pour créer une solution sur-mesure. L’intégrateur s’occupe de faire correspondre les possibilités offertes par son système à vos besoins. Il doit avoir des compétences très poussées sur les possibilités du système utilisé et sur les manières de les mettre en œuvre.

De notre point de vue, l’approche no-code s’adapte très bien aux POC (preuves de concept), c’est-à-dire à une première application permettant de valider les besoins. Elle peut aussi convenir à des applications très simples. Cela dit, même dans ce cadre, l’approche par le code et ses Frameworks pourront rivaliser. Toutefois, pour une “grosse application”, mieux vaut avoir la maîtrise de ce qui est fait et comment c’est fait à court, moyen et long terme !

Vous avez besoin d’un logiciel sur mesure ?

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